Septembre 1996. C'est une nouvelle année pour Poudlard, l'école de sorcellerie la plus réputée d'Angleterre. L'année précédente, qui fut des plus terrifiante et rebondissante, Harry, Ronald, Hermione, Neville, Luna et Ginny ont prouvé que Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom était revenu. Pendant sa triste visite au ministère, Harry Potter, le survivant, a vu son parrain et également sa dernière famille, Sirius Black, perdre la vie, tué par l'infâme et impitoyable Bellatrix Lestrange. C'est donc sur cette note amère que l'année commence.
Cette année scolaire qui attend les élèves est loin d'être joyeuse. Les mangemorts n'hésitent plus à faire des apparitions en public, le Chemin de Traverse est plus dépeuplé que jamais et, bien pire encore, certains parents d'élèves doute fortement de la sécurité de Poudlard. Les habitants savent très bien que des mangemorts sont présents dans le Ministère de la Magie, mais, oser dire que Poudlard en hébergerait aussi est complètement décalé quand on sait qu'il s'agit du lieu le plus protégé du monde magique.
De jeunes partisans de Voldemort sont présents dans le château. C'est bien souvent la maison de Salazar Serpentard qui accueille ces derniers. Un groupuscule d'adolescent qui se dit adepte de la magie noire, cruel et sans pitié va s'entraîner à manier la baguette. Ces élèves se doutent que le jour de la bataille finale approche et veulent être prêts pour ce grand jour. Les élèves de la légendaire maison verte et argent seront plus méchants et cruels que jamais et ne laisseront personne se mettre en travers de leur chemin.
L’Armée de Dumbledore qui avait été abandonnée après le départ d’Ombrage est reprise cette année par le bon vouloir d’Hermione qui va tout faire pour que Harry soit du même avis qu’elle. Les partisans du plus Grand Directeur de tous les temps comptent montrer qu’ils ne sont pas incapables. Harry, poussé par un désir brûlant de vengeance, ne s’éternisera pas et déclarera que L’Armée de Dumbledore va bel et bien revoir le jour.

Il faudra évidemment choisir son camps, à ses risques et périls, ou rester dans l’ombre, en espérant passer inaperçu.

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